
Publié le 06/12/2025 à 16:55
Six anciennes reines de beauté sont intervenues dans le documentaire Miss France un jour, Miss France toujours diffusé ce samedi 6 décembre sur TF1, avant l'élection de Miss France 2026. Plusieurs d'entre elles, dont Linda Hardy et Malika Ménard, ont évoqué l'argent.
Il ne reste plus que quelques heures avant de connaître le nom de la 96e Miss France. Ce samedi 6 décembre, TF1 retransmet en prime time l'émission animée par Jean-Pierre Foucault. 30 candidates vont tenter de décrocher la couronne et l'écharpe tant espérées. Mais avant le grand soir, la chaîne diffusait le documentaire Miss France un jour, Miss France toujours durant lequel d'anciennes tenantes du titre se sont exprimées sur leur parcours. On a ainsi pu voir Sophie Thalmann avec son mari pour évoquer le projet qui lui tient à cœur, ou encore Amandine Petit expliquer pourquoi elle ne veut pas afficher publiquement le visage de son fiancé.
Plus tard dans ce reportage, certaines des ex-Miss France ont évoqué leur salaire. Pour rappel, après son couronnement, l'heureuse élue signe un contrat de travail avec la société Miss France. Le salaire est estimé aux alentours de 3 000 € nets par mois, ce qui correspond souvent à un salaire annuel brut cité d'environ 50 000 €, assimilé à celui d'un cadre supérieur. La reine de beauté dispose également durant toute son année de règne d'un appartement de fonction à Paris, entièrement pris en charge par l'organisation. De quoi mettre de l'argent de côté pendant douze mois d'affilée.
Malika Ménard (Miss France 2010) s'exprime sur l'argent perçu pendant l'année de règne : "Ne fantasmons pas le salaire de Miss France"
Ainsi, Sophie Thalmann, Miss France 1998, s'est exprimée sur la question pécuniaire. "Le titre nous donne une vraie indépendance en tant que femme, même financièrement parlant, c'est énorme. Tu peux t'offrir ton premier appartement, ta première voiture. C'est même toi qui peux offrir la voiture à tes parents", sourit-elle. De son côté, Linda Hardy, Miss France 1992, indique que "c'est comme gagner au loto, votre vie change".
Malika Ménard, Miss France 2010, donne son avis à son tour en relativisant : "Enfin on ne gagne pas non plus de quoi… Ne fantasmons pas le salaire de Miss France. J'étais indépendante, j'ai pu faire des cadeaux, mais pas non plus des cadeaux de folie", fait-elle valoir. Pour terminer, Chloé Mortaud, Miss France 2009, est la dernière à commenter : "Je viens d'une famille modeste. Ça facilite énormément la vie d'avoir plus d'argent. Ça débloque quelque chose, ça m'a stimulée", conclut-elle.
L'article parle de...
Né dans un coin rural de la Loire à la fin des années 90, à quelques kilomètres des villages où vivent certains des agriculteurs les plus emblématiques de L'amour est dans le pré sur M6, je me souviens avoir grandi avec le poste de télévision (très) souvent allumé. Combien de samedis soir ai-je passé devant Fort Boyard sur France 2 ? L'occasion pour mes parents de me laisser manger une glace au chocolat sur le canapé… Double dose de bonheur ! Je me rappelle aussi de mon excitation à chaque grand lancement d'une saison de la Star Academy sur TF1, de Nikos qui apparaît sur mon écran et des hymnes successifs qui ont façonné la bande originale de mon enfance. La Musique de Nicoletta, Musique de Michel Berger, La bamba de Ritchie Valens chantée par la promotion de la saison 3. Le tout premier concert de ma vie à la Halle Tony Garnier de Lyon. Au fil des années, je me repasse en boucle chaque prestation de Myriam Abel, Amandine Bourgeois et Yseult dans Nouvelle Star, je « jibule » devant chaque trahison dans Koh-Lanta, je soutiens fougueusement chaque représentant de la France à l'Eurovision (sauf les Twin Twin) et je salive à chaque dégustation de Top Chef. Journaliste dans un quotidien national pour ma toute première expérience professionnelle, j'ai des étoiles dans les yeux lorsque je me rends sur un plateau de tournage ou lorsque j'interviewe un candidat ou un animateur. Lorsque j'arrive à la rédaction de Télé-Loisirs à la rentrée 2022, je suis tout de suite dans le grand bain avec un reportage à Dammarie-les-Lys pour le retour de la Star Academy. Le rêve se poursuit… Et il ne s'est pas arrêté là. J'ai assisté à la passation de pouvoirs entre Sophie Davant et Julia Vignali dans Affaire conclue, j'ai dîné à la table de la finale de Top Chef, je me suis rendu à l'Élysée, j'ai partagé un repas avec Frédéric Lopez dans sa maison à la campagne (mais pas un dimanche). Le reportage le plus cher à mon cœur est et restera le voyage de préparation des 30 candidates à Miss France 2024 à l'autre bout du monde, en Guyane, et l'élection d'Ève Gilles à Dijon un mois plus tard. Le souvenir de la clameur du public dans ce zénith me donne encore la chair de poule. Maintenant que je ne suis plus un enfant, je passe mes dimanches soir devant Zone Interdite et Capital, je dîne devant C à vous et Quotidien et il m'arrive de rattraper Quelle Époque en replay parce que vraiment, ce programme se finit trop tard dans la nuit. Mais depuis mes premiers souvenirs de télé, une chose n'a pas changé : je suis toujours aussi émerveillé par chaque programme, comme l'était le petit garçon que j'étais.
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