"C'est le vrai drame de Daniel" : Guy Balavoine se confie sur Linda Lecomte, que la star a quittée pour une raison importante

Ses souvenirs de son frère sont encore intacts. Guy Balavoine fait l'actualité en raison du spectacle hommage Balavoine : ma bataille dédié au chanteur mort dans un accident d'hélicoptère en 1986. Celui qui a été le choriste attiré de la star tout au long de sa carrière signe la chanson Pour un petit supplément d'âme. Il l'interprétera en concert lors des quelques dates de la tournée nationale qui démarre le 14 janvier prochain. Le musicien de 79 ans ne rate jamais une occasion de raconter l'histoire de sa famille, lui qui est issu d'une fratrie de sept enfants ayant grandi entre Alençon et Bordeaux au gré des mutations professionnelles de leur père. La musique s'invite assez tôt dans la vie de Daniel Balavoine qui se forme à la maison des jeunes de Pau puis à Paris avec ce même frangin. D'abord choristes, ils gravissent les échelons mais le succès se fait prier. Mais c'est dans ce contexte qu'ils rencontrent et accompagnent sur scène la candidate française à l'Eurovision 1976, Catherine Ferry, qui était alors la compagne de Daniel Balavoine de 1973 à 1977.

Déterminé à se faire un nom, Daniel Balavoine y parvient avec son album Le Chanteur. Une certaine Linda Lecomte est l'une des premières programmatrices à le diffuser à la radio, en 1978. Fraîchement célibataire, l'auteur-compositeur-interprète tombe éperdument amoureux de la Belge qu'il fréquente jusqu'en 1982. Interrogé par Paris Match sur cette discrète femmedans l'édition du jeudi 4 décembre 2025, Guy Balavoine affirme qu'il la connaissait bien. "Je pense que c'est la seule femme qu'il ait vraiment aimée. Il était fou d'elle. Avant, il y avait eu Catherine Ferry, mais c'était un peu un amour de jeunesse. Le vrai drame de Daniel, c'est qu'il voulait des enfants et que Linda ne pouvait pas en avoir. Alors, il a trouvé une génitrice", précise le septuagénaire. Celle-ci se nomme donc Corinne Barcessat. Et elle a dû composer avec les vestiges de la précédente relation de Daniel Balavoine. "Quand elle est arrivée chez lui à Bois-Colombes, elle s'est plainte des photos de Linda dans la chambre… Mais quand Jérémie est né, en 1984, Daniel était le plus heureux", admet l'artiste de 79 ans.

Daniel Balavoine, chamboulé par la naissance tant attendue de son premier enfant

La paternité a bouleversé Daniel Balavoine, d'après l'homme qui le raconte le mieux : "Je le revois avec la poussette dans les rues de Saint-Jean-De-Luz, personne ne le dérangeait tellement il avait l'air heureux. C'est ce qui a inspiré la chanson Dieu que c'est beau". Ce single sorti l'année de la naissance de son fils est l'une des meilleures ventes de son époque.

Chargement des commentaires de la communauté