La composition des douze groupes du Mondial 2026 sera déterminée vendredi à Washington, en présence de Donald Trump. L’équipe de France connaîtra ses trois premiers adversaires dans la compétition, disputée pendant l’été 2026 aux Etats-Unis, au Canada et au Mexique.
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Parmi les 42 équipes pour le moment qualifiées, quatre vont disputer leur toute première Coupe du monde : Curaçao, l’Ouzbékistan, la Jordanie et le Cap-Vert.
Bonjour @Sissi, on vous a préparé un #CQTP un peu spécial, avec des règles bien précises, puisqu’il faut respecter les conditions du tirage au sort. Rendez-vous à 17 heures 30 !
Bonjour @Le Fennec, malheureusement c’est un tirage impossible : il ne peut pas y avoir plus de deux nations d’une même confédération dans un même groupe... hormis celles issues de la zone Europe.
Dans votre exemple, l’Algérie et le Maroc sont issus des éliminatoires de la zone Afrique et ne peuvent donc pas se retrouver dans le même groupe. En revanche, la France pourrait avoir à affronter une équipe issue des éliminatoires de la zone Europe.
Canada et Etats-Unis, des relations compliquées
Depuis le retour de Donald Trump à la Maison Blanche, c’est peu dire que les relations entre les Etats-Unis et le Canada sont complexes. Pourtant, les deux vont, avec le Mexique, coorganiser la Coupe du monde, du 11 juin au 19 juillet, ce qui les oblige, malgré tout, à un minimum de collaboration. Vous voulez un résumé de quelques-uns des précédents épisodes ? On a ce qu’il vous faut :
Bonjour @fandefootball ! Bien tenté, mais notre chère @kopiste de tjrs vous a devancé d’une courte tête. Rien de grave cependant, car il n’y a pas de compétition dans le live, si ce n’est celle de remporter le #CQTP, puis le #JSUL, puis… Oui, bon, il y en a tout de même un peu. Allez, sans rancune, et puisse le – tirage au – sort nous être favorable.
Glorieux passé ou écrins de luxe, tour d’horizon des stades du Mondial 2026
Pour la première fois de son histoire, le Canada accueillera sur ses terres des matchs d’une Coupe du monde de football. Ce qui n’est pas le cas de ses deux expérimentés partenaires de festivité : les Etats-Unis, déjà hôte lors du Mondial 1994, et le Mexique, organisateur de deux précédentes – et mythiques – éditions, en 1970 et 1986.
L’occasion de réemployer des stades déjà utilisés à l’époque ? Non, pas réellement. Avec onze villes hôtes sur les seize sélectionnées pour le Mondial 2026, les Etats-Unis ont mis à l’honneur leurs nombreuses infrastructures dernier cri, sorties majoritairement de terre dans les années 2010, à l’image de l’impressionnant Mercedez-Benz Stadium d’Atlanta.
Le seul vestige de 1994 ? Le Gilette Stadium de Boston – oui, toutes les enceintes nord-américaines profitent de contrats publicitaires… – ouvert au public en 2002 sur les ruines du Foxboro Stadium.
Quant au Mexique et ses trois villes sélectionnées pour l’occasion, une arène d’anthologie figure toutefois au programme : l’Estadio Azteca de Mexico. Cet immense stade, construit en 1966 et rénové pour le Mondial à venir, deviendra ainsi le premier au monde à accueillir trois éditions d’une Coupe du monde de football. Cette fois-ci, l’antre d’El Tricolor ne sera cependant utilisé qu’en phase de groupes – notamment pour le match d’ouverture –, puis pour un seizième et un huitième de finale, lui qui avait pourtant été le théâtre des victoires finales du Brésil de Pelé en 1970, et de l’Argentine de Diego Maradona en 1986.
« Travel ban », FIFA PASS, temps d’attente : les Etats-Unis s’empêtrent dans la problématique des visas
Par un texte entré en vigueur en juin, le principal pays hôte du Mondial-2026 a fermé ses portes aux ressortissants de 12 pays, dont deux sont désormais qualifiés pour la reine des compétitions de football : l’Iran et Haïti. Un « travel ban » – interdiction de voyage – souhaité par le président Donald Trump pour « protéger les Etats-Unis des terroristes étrangers », en lien avec le durcissement extrême de sa politique migratoire.
Coupe du monde de foot 2026 : de nombreux supporteurs déjà privés de tournoi en raison de la politique migratoire de Donald Trump
Par Alexandre Lemarié
Il y a la communication politique, ses belles phrases, et la réalité, plus sombre. Le 6 mai, lors d’une conférence de presse, le président des Etats-Unis, Donald Trump, se disait impatient d’accueillir « les fans du monde entier » à l’occasion de la prochaine Coupe du monde de football, que son pays organisera avec le Canada et le Mexique du 11 juin au 19 juillet 2026. Aux côtés du président de la Fédération internationale de football (FIFA), Gianni Infantino, le locataire de la Maison Blanche promettait une « expérience sans accroc », réaffirmant sa joie d’héberger le « plus grand événement sportif de l’histoire ». Même son de cloche, le 23 août, quand le dirigeant MAGA (Make America Great Again, « rendre sa grandeur à l’Amérique ») assurait qu’il serait « très facile » pour les supporteurs d’assister au tournoi.
Si les joueurs des équipes nationales concernées pourront toutefois prendre part à la Coupe du monde grâce à une levée partielle des restrictions, les membres des fédérations et les équipes techniques seront contraintes de passer par un processus plus strict. Celui-ci, pensé spécialement pour la compétition internationale, permettra de fluidifier les demandes de visas par le biais d’un FIFA PASS, pour tenter de raccourcir les délais d’attribution qui s’étendent souvent à plusieurs mois. « Votre billet n’est pas un visa », a néanmoins mis en garde le secrétaire d’Etat américain, Marco Rubio. « Il ne garantit pas votre entrée aux Etats-Unis. Il vous garantit un rendez-vous accéléré. Vous passerez toujours par le même processus de vérification (…) La seule différence, c’est que nous les mettons en haut de la pile. »
Face à ce frein majeur pour la venue des supporteurs des différentes équipes, l’Iran avait notamment choisi de ne pas se rendre au tirage au sort, avant de revenir finalement sur sa décision, le 3 décembre, à deux jours de l’échéance.
42 équipes déjà qualifiées, 23 en salle d’attente
Comme le précise le post de 16 h 15, six places restent à attribuer dans le chapeau 4. Ce seront donc 42 sélections qui vont être tirées au sort aujourd’hui tandis que les six dernières boules feront référence aux futurs vainqueurs des barrages. Pour connaître l’identité des équipes déjà qualifiées, voici la composition de ces fameux chapeaux :
Chapeau 1 : Canada, Mexique, Etats-Unis, Espagne, Argentine, France, Angleterre, Brésil, Portugal, Pays-Bas, Belgique, Allemagne.
Chapeau 2 : Croatie, Maroc, Colombie, Uruguay, Suisse, Japon, Sénégal, Iran, République de Corée, Équateur, Autriche, Australie.
Chapeau 3 : Norvège, Panama, Égypte, Algérie, Écosse, Paraguay, Tunisie, Côte d’Ivoire, Ouzbékistan, Qatar, Afrique du Sud.
Chapeau 4 : Jordanie, Cap-Vert, Ghana, Curaçao, Haïti, Nouvelle-Zélande, vainqueurs des barrages européens A, B, C et D, vainqueurs du tournoi de barrage de la FIFA 1 et 2.
Pour les six derniers tickets pour le Mondial, 23 sélections s’affronteront donc lors des barrages du mois de mars. Parmi elles se trouvent 16 équipes européennes, dont l’Italie, qui veut absolument éviter de rater la Coupe du monde pour la troisième fois consécutive.
Comment se déroulera le tirage au sort ?
Quatre chapeaux, 48 boules, et un tirage bien huilé : si le Mondial s’étoffe pour la première fois de seize équipes supplémentaires, sa mise en place suivra toutefois un déroulement similaire aux éditions précédentes.
A l’inverse de toutes les règles de savoir-vivre – toutes nos excuses à Nadine de Rothschild –, les hôtes se serviront en priorité : à commencer par le Mexique, qui sera automatiquement versé dans le groupe A, suivi du Canada dans le B, puis les Etats-Unis pour la poule D. Viendront ensuite les neuf autres équipes du chapeau n° 1, dont la France fait partie, aux côtés de l’Espagne, l’Argentine, l’Angleterre, le Brésil, le Portugal, la Belgique, l’Allemagne, et les Pays-Bas.
Une fois les cadors internationaux répartis dans les douze groupes, le tirage continuera avec les nations du chapeau n° 2, puis n° 3, et enfin celle du n° 4. Pour ce dernier, l’incertitude reste toutefois de mise, car seule la moitié de ses membres est pour le moment connue, l’autre étant composée des futurs vainqueurs des barrages européens et intercontinentaux, qui se dérouleront au mois de mars.
Bonsoir à toutes et à tous, welcome everyone, hola a todas y todos !
Et bienvenue dans ce live qui donne, d’une certaine manière, le coup d’envoi de la Coupe du monde 2026, qui débutera réellement sur les terrains le 11 juin prochain, avant une finale le 19 juillet. Aujourd’hui, c’est le tirage au sort de la phase de groupes de la compétition, un moment très attendu par les supporteurs mais aussi par les sélections. Didier Deschamps et son staff ne doivent parler que de ça depuis quelques jours.
Ils assisteront à cette cérémonie qui se déroule au Kennedy Center de Washington et d’ici quelques heures, ils connaîtront leurs trois adversaires de cette première phase mais aussi leur groupe et les villes dans lesquelles ils joueront. Aux Etats-Unis, au Canada, au Mexique ? Tout est possible et c’est ce qui fait le charme de ce tirage au sort qu’on attend avec impatience.
Cependant, même si le tirage est bon, il ne faut jamais s’enflammer. La vidéo ci-dessous est une petite piqûre de rappel : en décembre 2009, Gilbert Brisbois, présentateur de L’After Foot, sur RMC, qualifiait de « jackpot » le tirage au sort a priori clément de l’équipe de France pour le Mondial 2010. On se rappelle très bien de l’issue : deux défaites et un nul pour les Bleus contre l’Afrique du Sud, le Mexique et l’Uruguay et, en prime, une crise d’ampleur nationale partie de la grève des joueurs à Knysna.
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