Exclu. Antoine de Caunes raconte sa dépression après l'arrêt du Grand Journal

À tout juste 72 ans, Antoine de Caunes restera un éternel trublion du petit écran. De Chorus à Nulle part ailleurs, il a en effet bâti une carrière aussi libre que son humour ne cessant d'explorer la culture pop, le cinéma et la musique avec une curiosité contagieuse. Diffusée ce mercredi 3 décembre 2025, à partir de 21h10 sur Canal+, la série documentaire Antoine de Caunes, la vie rêvée d'un enfant du rock retrace ce parcours hors norme qui a fait de l'animateur touche-à-tout une figure incontournable du PAF et avec qui Télé-Loisirs a pu s'entretenir pour l'occasion. Rencontre.

Construit en quatre épisodes, ce format nous permet de nous en apprendre davantage sur l'homme de télévision. Un projet qu'il voit comme "une étape" plutôt qu'un bilan. Même si le père d'Emma de Caunes l'admet : "si l'on vous consacre un documentaire, c'est que vous êtes plus proche de la sortie que de l'entrée (rires). Mais j'espère avoir l'énergie de pouvoir ajouter un cinquième chapitre aux quatre qui viennent d'être écrits (...) et la nostalgie n'est pas dans mon vocabulaire. Je vis pour demain." Une magnifique occasion de revoir ses débuts dans Chorus, de nous replonger dans la grande époque de la chaîne cryptée à travers des archives de Nulle part ailleurs et de son inoubliable duo formé avec José Garcia mais aussi de revenir sur son expérience en Angleterre avec l'émission Eurotrash, qu'il co-animait avec Jean-Paul Gaultier, et qui lui a permis de connaître une petite notoriété outre-Manche.

"J'en ai parlé très simplement et librement" : Antoine de Caunes se confie sur sa dépression

Dans le programme, Antoine de Caunes revient sur une période difficile de sa carrière : sa dépression après l'arrêt du Grand Journal. Il nous en parle, d'abord avec cette pointe d'humour qui le caractérise, nous confiant s'être relevé avec "des petites pilules qui font sourire et qui vous redonnent confiance en la vie (rire)" avant de poursuivre "J'en ai parlé très simplement et très librement parce que c'est un sujet comme un autre qui touche, malheureusement, beaucoup de monde".

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