
Publié le 05/12/2025 à 12:00
Julie Decroix est Miss Alsace 2025 et concourt pour devenir Miss France 2026 le 6 décembre à Amiens. Au cours d'un long entretien qu'elle a accordé à Télé-Loisirs, partenaire de l'élection, la jeune femme de 20 ans s'est confiée sur ses origines et sa famille.
La 96e édition de Miss France se tient samedi 6 décembre 2025 depuis le Zénith d'Amiens. Trente reines de beauté espèrent succéder à Angélique Angarni-Filopon et devenir Miss France 2026. Parmi elles, Julie Decroix, tout juste 20 ans et couronnée Miss Alsace 2025 en juin dernier. La jeune femme, qui avait déjà participé au concours régional il y a deux ans, retente l'aventure cette année, plus déterminée et préparée, comme elle nous l'a confié au cours d'un long entretien qu'elle nous a accordé. Dès son sacre en juin dernier, cette étudiante en psychologie a été victime d'une vague de racisme sur les réseaux sociaux. "Je m'y attendais. Je me suis préparée mentalement, c'est pour ça qu'aujourd'hui, cela ne m'atteint absolument pas", nous a-t-elle assuré il y a quelques semaines. La Haut-Rhinoise a par ailleurs reçu le soutien du comité et de plusieurs Miss.
Julie Decroix porte fièrement les couleurs de l'Alsace, où elle vit depuis son adolescence. Avant cela, elle a pas mal bourlingué puisqu'elle est née au Sénégal et a grandi au Mali. La raison ? "Mes parents aimaient beaucoup voyager. Mon papa était chef cuisinier et il aimait bien l'Afrique. Il est allé au Sénégal, au Mali, en Côte d'Ivoire où il a rencontré ma maman. Je suis donc d'origine franco-ivoirienne", nous a-t-elle expliqué. "Cela fait un moment que je n'y suis pas allée, depuis 2015. Mais j'aimerais bien y retourner", nous a-t-elle précisé.
Julie Decroix (Miss Alsace 2025), candidate à Miss France 2026 : "De mes deux parents, je suis fille unique, mais…"
En parlant de ses parents, Julie Decroix a évoqué sa fratrie. "J'ai une famille recomposée. De mes deux parents, je suis fille unique, mais du côté de mon papa, j'ai trois grandes sœurs que je ne connais pas, un grand frère qui est pompier à Paris et une petite sœur. Et du côté de ma maman, j'ai une grande et une petite sœur. Ma grande sœur est aide-soignante et mes petites sœurs vont à l'école", nous a-t-elle indiqué.
L'article parle de...
Initialement, j’ai choisi le métier de journaliste pour donner la parole aux autres. Pas pour brosser mon portrait. Puisqu’il s’agit de se présenter, le plus simple, c’est de le faire de la manière que je connais le mieux : en interview ! Naissance : Cette année-là est marquée par Tchernobyl, la mort de Balavoine et Coluche, la création de La Cinq et du 19/20 de France 3, une nouvelle défaite en demi-finale de Coupe du monde face à l’Allemagne et la sortie en salles de La Mouche de Cronenberg. Quel millésime ! Implantation géographique : Premier cri poussé dans le plus petit département de France (le Territoire-de-Belfort), premiers pas dans ma belle Normandie, bac obtenu dans l’académie de Lille, passage à l’âge adulte en région parisienne. Un parcours à faire pâlir d’envie Miss France. Débuts professionnels : Premier travail en ambassade. De quoi préparer le terrain à l’Eurovision, finalement. Passage ensuite dans la presse culturelle avant d’arriver chez Télé-Loisirs en 2014. Domaines de prédilection : la cuisine (je peux maintenant dire que j’ai participé à une finale de Top Chef et que je connais par coeur les cuisines du palace qui l’accueillaient), le sport (je ne compte plus le nombre de matches de l’OM ou de Manchester United), les émissions de faits divers (je fais partie de ces gens qui s’endorment en écoutant Fabrice Drouelle) et de société, et la politique. Sans oublier évidemment deux émissions dont je n’ai jamais raté un épisode : L’amour est dans le pré et Danse avec les stars. À tel point que, l’été où je suis partie aux États-Unis, une copine m’avait enregistré TOUS les épisodes d’ADP pour que je puisse les regarder en rentrant (le replay n’existait pas et nous avions alors des magnétoscopes/lecteurs DVD, des objets qui, un jour, vaudront une petite fortune en vide-greniers ou dans Affaire conclue). Quant à DALS, j’ai eu la chance d’aller à plusieurs reprises sur le tournage… et de me retrouver derrière les juges. Meilleur voyage de presse : dans un sanctuaire de bonobos en République démocratique du Congo. Dix ans plus tard, je rêve encore d’y retourner pour y faire du bénévolat. J’en suis revenue avec un petit bonus : une grosse réaction allergique à une morsure d’araignée tropicale. Interviews les plus marquantes : l’avantage de ce métier, c’est que l’on peut interviewer un agriculteur en mal d’amour, une cheffe multi-étoilée, un champion du monde de bûcheronnage sportif, une comédienne que l’on adore depuis que l’on est gamine, un sportif que l’on admire, une présentatrice télé qui a marqué notre enfance… Et que l’on a toujours envie d’allonger cette liste.
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