
SONDAGE - À quelques jours du vote sur le PLFSS, prévu le 9 décembre, une courte majorité du pays souhaite l’adoption du texte sous certaines conditions, comme le révèle une enquête Odoxa-Backbone Consulting pour Le Figaro.
Dans la dernière ligne droite, Sébastien Lecornu veut encore croire en une fin heureuse. À quelques jours du vote dans l’Hémicycle, prévu le 9 décembre, les signaux restent pourtant au rouge pour le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS). En particulier depuis qu’Édouard Philippe a annoncé qu’«en l’état», ses troupes s’abstiendraient ou voteraient contre le texte budgétaire. À rebours d’une courte majorité de Français (51%), qui souhaite l’adoption du PLFSS, comme le révèle un sondage Odoxa-Backbone Consulting pour Le Figaro.
Mais à condition que le projet de loi final ne comporte pas une hausse de la contribution sociale généralisée (CSG) sur le patrimoine, encouragée par les socialistes et massivement rejetée par la droite. Auquel cas plus de la moitié du pays (53%) voudrait que les partis s’opposent à ce budget, qui inclut déjà la suspension de la réforme des retraites. Même si les sympathisants des Républicains (55%) encouragent leurs députés - qui conditionnent…

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