Une chercheuse de l’école Polytechnique de Milan en Italie pourrait bien avoir découvert dans le château des Sforza les souterrains imaginés par l’artiste il y a plus cinq cents ans. Nous l’avons rencontrée.

Par Jila Varoquierenvoyée spéciale à Milan (Italie) 

Le

27 novembre 2025 à 08h45

Milan (Italie), le 24 novembre 2025. Francesca Biolo, ingénieure en architecture, devant l'endroit où se situerait la galerie reliant le château des Sforza à la basilique Santa Maria delle Grazie, à plusieurs centaines de mètres de là. LP/Jila Varoquier

Milan (Italie), le 24 novembre 2025. Francesca Biolo, ingénieure en architecture, devant l'endroit où se situerait la galerie reliant le château des Sforza à la basilique Santa Maria delle Grazie, à plusieurs centaines de mètres de là. LP/Jila Varoquier

Francesca sourit. En commençant sa thèse, en 2020, elle n’aurait jamais cru découvrir tout ça. « On est allé bien plus loin que ce que j’imaginais. On sait bien qu’il y a possiblement des choses cachées, mais pas à ce point », raconte-t-elle, dans le café du château des Sforza dans le centre-ville historique de Milan (Italie), balayé par la pluie battante de cette mi-novembre.