
HUMEUR – Au-delà d’une vitrine qui apparaît alléchante à bien des égards, l’élargissement à 48 nations pour l’édition 2026 apporte plus de problèmes que de solutions.
«La plus grande et la plus inclusive des Coupes du monde». La Fifa se réjouit à l’idée d’organiser ce premier Mondial à 48 nations, contre 32 jusqu’ici. «Davantage de pays auront ainsi la possibilité de voir leur équipe évoluer sur la plus grande scène internationale et davantage de joueurs pourront réaliser leur rêve de prendre part à la compétition phare du sport mondial», s’émerveille-t-on au sein de l’instance dirigeante du football mondial, où on se dit «convaincu que la compétition conservera un niveau élevé», évoquant «un véritable festival avec 104 matches dans 16 stades». Le tout en soulignant que «ce format va permettre de rééquilibrer la répartition des places».
Gianni Infantino rêvait de cet élargissement, il a obtenu gain de cause. Et le président de la Fifa ne serait pas contre l’idée de passer... à 64 lors du Mondial 2030, en Espagne, au Portugal et au Maroc. Sur le papier, c’est beau, c’est romantique, ce sont de belles histoires, à l’image de Curaçao ou de l’Ouzbékistan…

il y a 23 hour
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