« On ne peut plus tenir » : un centre de soins pour animaux sauvages veut taxer les villes de l’Oise pour survivre

il y a 1 hour 1

Nouveau

Envol, l’un des plus importants centres de soins de la faune sauvage, installé dans l’Oise, est régulièrement sollicité à titre bénévole. Une situation qui n’est plus tenable face aux frais qu’engendre la structure.

Par Stéphanie Forestier 

Le

6 décembre 2025 à 12h00

Bailleul-sur-Thérain (Oise), le jeudi 27 novembre. Eric Desesquelles, le responsable du centre de soins pour animaux sauvages ENVOL se retrouve confronté à une baisse de moyens qui met à mal son refuge. LP/Stéphanie Forestier

Bailleul-sur-Thérain (Oise), le jeudi 27 novembre. Eric Desesquelles, le responsable du centre de soins pour animaux sauvages ENVOL se retrouve confronté à une baisse de moyens qui met à mal son refuge. LP/Stéphanie Forestier

Pas de subvention, pas d’animaux soignés. C’est le nouveau mot d’ordre du centre de soins de la faune sauvage Envol, qui occupe 7 ha de terrain à Bailleul-sur-Thérain (Oise).

Présentée comme l’une des plus grande de France, la structure qui accueille jusqu’à 1 500 bêtes, n’accepte plus les animaux venant des communes qui ne subventionnent pas l’association. Une décision prise au mois de novembre que doit encore annoncer chaque jour Éric Desesquelles, le responsable. « Encore ce matin, j’ai dû être ferme, même si ça me fait mal au cœur. »

Lire l’article en entier